Les deux films choisis par l’un des cinq groupe de programmateurs ont pu être partagés en salle.

Ce lundi environ 80 personnes ont pu apprécier de partager les films coup de coeur de l’un des groupe. Pour rappel étaient programmés :

 

Daouda N’Diaye, Cent papiers, Paola Rima Melis, 13 min, 2020 (Maroc/France). Documentaire.

Daouda N’Diaye est un artiste sénégalais. Dans son atelier, il nous parle de ces « Cent papiers » et de la « Muraille de papier », tout en façonnant cette matière qu’il a appris à dompter avec des gestes précis. En récupérant et en transformant ce matériau, il nous invite à une double réflexion, écologique et politique. Quand l’artiste intervient dans une société de surconsommation qui abat peut-être un peu trop d’arbres et qui dresse peut-être un peu trop de murs.

 

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Tant qu’on vit, Dani Kouyaté, 90 min, 2016 (Suède/Burkina Faso). LM fiction.

Kandia, une femme gambienne d’une cinquantaine d’années vivant depuis 30 ans en Suède, ne sait plus où est sa place : en Suède, où son fils Ibbe, adolescent, se cherche tout en rêvant d’une carrière dans le hip hop, ou dans son pays d’origine. Un retour à la terre de leurs ancêtres va bousculer leurs trajectoires respectives. L’efficacité du récit, onirique parfois, pose précisément les questions de la transmission et des choix de vie en situation de double culture.
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Des programmateurs

Une projection suivie d’échanges avec les programmateurs qui ont expliqué leurs choix de programmation et se sont exprimé sur leur plaisir de partager des films découverts sur petit écran en salle. Il a été question lors des échanges de la place de l’artiste dans la société, puis concernant le film Tant qu’on vit :  des efforts que cela demande de savoir se construire entre plusieurs cultures, et surtout de la richesse que cela constitue.